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coeur
Gradus Ad Musicam
Cordes
C.G. Conn
P.O. Box 310 Elkhart, Indiana 46515-0310 U.S.A.
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Georges Bizet

Georges Bizet
(1838-1875)

Felix Mendelssohn

Felix Mendelssohn
(1809-1847)

John Rutter

W. A. Mozart
(1756-1791)

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Maurice Ravel
(1875-1937)

Un concert - Tableau anonyme du XVII° siècle
Musée Tessé, Le Mans
Jacopo TINTORETTO (1518-1594)
Femmes faisant de la musique
Gemäldegalerie, Dresden
Tambourins
MEINL cymbals & percussion
Roland Meinl Musikinstrumente GmbH & Co. KG
Am Bahnhof 2
D-91468 Gutenstetten
tél: 49 - (0) 9161 - 6625 - 0
fax: 49 - (0) 9161 - 6625 - 25
Hautbois & basson
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Trompettes
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Flûtes
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Cors
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Trombones
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Caspar Netscher (1635-1684)
Leçon de basse de viole
Musée du Louvre, Paris
Programme
Saxophone

SAISON POIREL 2011-2012
30ème saison

Wolfgang Amadeus Mozart -
Grande Messe en ut

Samedi 15 octobre 2011 à 20h30 - Salle Poirel, Nancy

Maurice RAVEL - Boléro
Trois Chansons pour chœur a capella – Chansons madécasses pour baryton, flûte, violoncelle et piano - Concerto pour piano et orchestre en sol majeur
Mardi 31 janvier 2012 à 20h30 - Salle Poirel, Nancy
Felix MENDELSSOHN - Elias
Samedi 24 mars 2012 à 20h30 - Basilique Saint Epvre, Nancy
Le docteur Miracle ou Bizet avant Carmen
Samedi 12 mai 2012 à 20h30 - Salle Poirel, Nancy

Hors abonnement

Opération Domjevin - Badonviller

Samedi 28 avril 2012 à 21h - Eglise de DOMJEVIN
Dimanche 3 juin 2012 à 17h - Eglise de BADONVILLER

Abonnement 2011-2012

  •  Mozart
  •  Ravel
  •  Mendelssohn
  •  Bizet
  • 4 concerts :

  • Tarif normal : 60€
  • Tarif réduit : 52€ (chômeurs, groupes + 10 personnes)
  • Tarif étudiant : 36€

    Tarifs par concert hors abonnement :

  • 20€ (normal)
  • 15€ (réduit) - 17€ (adhérents FNAC)
  • 6€ (étudiants -
  • 15 mn avant le concert dans la limite des places disponibles)

    Billetterie
    Salle Poirel Nancy 03 83 32 31 25
    (concerts salle Poirel)

    Magasins FNAC - Carrefour
    0 892 68 36 22 ( 0.34€/mn) - www.fnac.com
    (tous les concerts)

    Renseignements et abonnements:
    Gradus Ad Musicam
    2, rue des Fabriques
    54000 NANCY
    tél. : 03.83.21.09.19 / 03 83 36 85 98
    fax : 03 83 29 32 14

    ou cliquez ci-dessous:

    Maurice RAVEL
    Boléro, Chansons, Concerto pour piano

    D

    édié à Maurice Ravel, ce concert nous donne à entendre, outre le fameux Boléro, quel­ques-­unes de ses œuvres où son génie s’exprime avec une constante volonté de s’adresser à ce que l’homme a de plus intime. A la manière d’un artisan, Ravel ne s'est jamais départi d'une sensibilité et d'une expressivité qui, selon Le Robert, lui firent évoquer dans son œuvre à la fois «  les jeux les plus subtils de l’intelligence » et «  les épanchements les plus secrets du cœur  ».

    • Le Boléro
    • Trois Chansons pour chœur a capella
    • Chansons madécasses pour baryton, flûte, violoncelle et piano
    • Concerto pour piano et orchestre en sol majeur

    Philippe KLEIN, piano

    Solistes, chœur & orchestre GRADUS AD MUSICAM

    Direction : François LEGÉE

     

     


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    Maurice RAVEL

    L'

    œuvre de Maurice RAVEL révèle un style audacieux qui a révolutionné le piano et la musique orchestrale. Son BOLERO reste le morceau français le plus joué dans le monde.

    Maurice
    RAVEL est né le 7 mars 1875 à Cibourne, dans les Basses Pyrénées. Son père, Joseph Ravel, ingénieur mécanicien & musicien amateur, découvre rapidement les dons artistiques de son fils. Très tôt, la famille déménage à Paris, où l'enfant est initié à la musique par les plus grands professeurs (Henry Ghys, Charles René et Emile Decombes), avant d'intégrer le conservatoire de la capitale en 1889.

    Alors âgé de quatorze ans, il y reçoit des cours de piano d'harmonie d'orchestration et de contrepoint, et enfin de composition par les plus grands maîtres, notamment Gabriel Fauré. En 1901, sa cantate Myrrha est récompensée par le second prix au Concours de Rome en composition, mais sa musique trop moderne et révolutionnaire l'empêche d'obtenir le premier prix, qu'il s'obstine en vain à obtenir pendant quatre ans.

    Cependant, ses premières œuvres attirent l'attention, et rapidement, Ravel est connu dans le monde entier. C'est de 1905 à 1913 que se concentre la majorité de ses compositions, parmi lesquelles figurent les deux ballets Daphnis et Chloé et Ma mère l'Oye. Ravel travaille en effet beaucoup sur la danse depuis l'arrivée en France des ballets russes au début du siècle.

    En 1913, il compose également Trois poèmes de Stéphane Mallarmé, influencés par le travail de Stravinsky, que Ravel rencontre en 1909. Ils sont suivis l'année suivante par deux grandes pièces, le Trio en la mineur pour piano, violon et violoncelle, ainsi que le Tombeau de Couperin. Bientôt, la guerre éclate, et Ravel s'engage en tant que transporteur, avant d'être rapatrié en 1916 à Paris à cause d'une dysenterie. Le musicien traverse donc une période peu féconde en matière de composition, d'autant plus qu'il vient de perdre sa mère. Il se remet au travail en 1919 avec La valse, qu'il n'achève qu'en 1928.

    Au moment où disparaît Debussy, un grand maître de la composition en terme d'innovations, Ravel est devenu la nouvelle figure de proue de la musique en France. Il parcours alors l'Europe et les Etats-Unis pour se produire en concert, et il offre à partir de ce moment-là une œuvre au langage harmonique plus souple, ce qui en fait toute son originalité. La Sonate pour violon et violoncelle de 1922 témoigne parfaitement de ce changement, et tout l'art lyrique du compositeur se dégage de L'Enfant et les sortilèges et des deux Concertos pour piano & orchestre, datant respectivement de 1925 et 1931. Tandis qu'en 1920, il refuse de recevoir la Légion d'honneur, il se voit décerner huit ans plus tard un doctorat honorifique de l'université d'Oxford, ce qui confirme son succès à l'étranger. Cette même année 1928, il compose le célèbre Boléro, un morceau commandé par la danseuse Ida Rubinstein pour l'opéra de Paris. Il s'agit encore aujourd'hui de la composition musicale française la plus jouée dans le monde.

    A partir de 1932, une maladie rare le ronge : la maladie de Pick. Cette affection cérébrale qui lui apporte des états d'excitation psychique s'aggrave après un accident en taxi survenu peu de temps après, et il meurt le 28 décembre 1937. De nombreux musiciens l'accompagnèrent à sa dernière demeure, notamment Ricardo Vines, Igor Stravinsky, Darius Milhaud, Francis Poulenc, Manuel Rosenthal et Robert Casadesus. Jean Zay, alors ministre de l'Education Nationale, prononce l'éloge funèbre au nom du gouvernement.


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    GRANDE MESSE EN UT MINEUR
    Wolfgang Amadeus MOZART

    U

    ne œuvre culte du patrimoine musical. Mozart dans la plénitude de sa capacité de séduction. Quatre solistes, double chœur, grand orchestre, le plein d’émotions.

    C

    'est le 4 août 1782 que Wolfgang Amadeus Mozart épouse, contre la volonté de son père, Constance Weber.

    Dans une lettre à son père datée du 4 janvier 1783, Mozart fait allusion à la promesse qu'il avait faite d'écrire une œuvre sacrée s'il parvenait à épouser Constance, qui était alors gravement malade. Lorsqu'il amena celle-ci à Salzbourg, en août 1783, il apportait avec lui la partition incomplète d'une messe répondant à ce vœu formulé, semble-t-il, lors des jours difficiles qui avaient précédé son mariage.

    La première exécution de l'œuvre inachevée - il y manque la fin du Credo ainsi que l'Agnus Dei - a lieu le 26 octobre à l'église Saint-Pierre de Salzbourg avec Constance dans la partie de soprano solo.

    Apparemment, Mozart ne redonna jamais la Messe en ut mineur, et ne se remit donc jamais à y travailler. Toutefois, en mars 1785, il arrange le Kyrie et le Gloria avec de la musique additionnelle, pour en faire l'oratorio italien Davidde penitente (K.469). L'œuvre est exécutée sous cette forme au Burgtheater de Vienne les 13 et 15 mars 1785.

    Les styles de la Messe en ut mineur sont extrêmement contrastés. De toute évidence, la grande écriture chorale reflète les études récentes que Mozart avait effectuées sur Bach et Haendel. En revanche, les influences italiennes se retrouvent dans les sections de solistes, tout droit venues de l'opéra, ce que l'éclatant Gloria expérimente au fil de ses huit sections.

    Le cœur de la Messe est cependant, dans le Credo, la monumentale aria tripartite pour soprano sur Et incarnatus est, qui semble à la fois une dédicace exaltée de Mozart à la femme qu'il aimait (mais qui dut être embarrassée par les difficultés de l'écriture) en même temps qu'une hymne lumineuse à l'incarnation divine. On comprend qu'après une telle prouesse de raffinement vocal et instrumental, Mozart ait eu du mal à poursuivre son labeur.

    La Grande Messe en ut mineur constitue, avec le Requiem, le sommet de la musique religieuse de Mozart, et l'un des points culminants de toute sa production.


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    ELIAS
    Oratorio de Felix Mendelssohn

    F

    astueuse, monumentale, dramatique, solennelle et grave, inspirée, poétique et magnifique : tels sont les adjectifs qui qualifient cette œuvre qui manquait au répertoire de Gradus Ad Musicam.
    Les quatre solistes, les chœurs et l’orchestre sont traités comme des acteurs authentiques pour décrire les épisodes de la vie d’Elias, que Mendelssohn se représente comme un vrai prophète, « tel que nous aimerions en avoir de nos jours : fort, plein de zèle, parfois aussi fâché, en colère et sombre et pourtant comme porté par des ailes d'ange».

    • Elias, op. 70, oratorio de Felix Mendelssohn Bartholdy, pour soprano, alto, ténor et basse soli, chœur à 8 voix et orchestre, d'après le texte de l'Ancien Testament (I Rois, 17-19).

    Solistes, Chœur & Orchestre Symphonique GRADUS AD MUSICAM

    Direction : François LEGÉE

    Felix MENDELSSOHN BARTHOLDY

    F

    elix Mendelssohn est né le 3 février 1809, à Hambourg, dans une famille aisée et cultivée. Son père Abraham était banquier, son grand-père Moses Mendelssohn occupa une place importante dans la philosophie des Lumières de langue allemande, et sa mère, Lea, très instruite et artiste, l'initia à la musique. Il grandit dans la tradition libérale de l'humanisme allemand. Sa famille, juive allemande, se convertit au protestantisme (d'où l'ajout du nom Bartholdy par décision de son père).
    En 1811, sa famille s'installa à Berlin pendant l'occupation de Hambourg par la France. Suivant l'exemple de sa sœur aînée Fanny, il se montra très précocement doué.
    Il donna son premier concert de piano à l'âge de neuf ans, le 24 octobre 1818. L'année suivante, il fut admis (ainsi que sa sœur Fanny) à la Singakademie de Berlin, une institution chorale berlinoise où Félix Mendelssohn put se consacrer à la technique vocale. Ludwig Berger lui donna des leçons de piano et la composition lui fut enseignée par Friedrich Zelter. Notons qu'à sa formation musicale s'ajouta des études littéraires et philosophiques car les parents de Félix Mendelssohn n'étaient pas favorables à ce qu'il choisisse la carrière de musicien.
    Mendelssohn
    En 1825, ses parents le soumirent à un examen auprès de Luigi Cherubini (alors directeur du Conservatoire de Paris), et c’est sans surprise qu’il fut jugé apte à la carrière de musicien. Cependant Mendelssohn n'affectionnait pas particulièrement la France et n'y resta que peu de temps.
    En 1826 il créa la célèbre ouverture du Songe d'une nuit d'été, d'après Shakespeare. Grand admirateur de J.S Bach et suivant les conseils de son ami l'acteur Eduard Devrient, Félix Mendelssohn dirigea, en 1829 à Berlin, l'exécution de la Passion selon saint Matthieu, que l'on n'avait plus entendue depuis la mort de Bach. Son succès contribua au "retour de Bach".
    Les années 1830 sont essentiellement consacrées à des tournées de concerts, qui le menèrent successivement en Angleterre (où il triompha comme comme soliste et chef d'orchestre), en Écosse, à Weimar, en Italie, à Munich et à Paris, où il resta quatre mois et rencontra Chopin et Liszt. Il retourna ensuite en Allemagne où il occupa différents postes de directeur de festivals et de concerts.
    En 1835, Mendelssohn eut la responsabilité du célèbre orchestre du Gewandhaus de Leipzig et se lia avec Robert et Clara Schumann. Il épousa en 1837 Cécile Jeanrenaud, fille d'un pasteur protestant français, avec laquelle il eut cinq enfants. A la demande du Roi Frédéric Guillaume IV, il devint Directeur Général de la Musique en Prusse (1841). En 1843, il créa le Conservatoire de Leipzig et fit appel à son ami Robert Schumann pour y enseigner la composition. En 1844, il termina son célèbre Concerto pour violon en mi mineur op. 64. En 1846, il se rendit à nouveau en Angleterre pour y diriger la première de son oratorio, Elijah (Elias en allemand).

    Sa soeur Fanny mourut le 14 mai 1847 à Francfort, victime d'une attaque cérébrale. Il disparut dans les mêmes circonstances peu de temps après, âgé de seulement 38 ans, le 4 novembre 1847 à Leipzig.


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    OPERATION DOMJEVIN

    GRADUS AD MUSICAM en partenariat avec la DRAC et les collectivités locales intervient en milieu rural pour permettre à des jeunes qui n’en auraient pas les moyens, de s’initier à la musique : Atelier percussion pour les ados à Blâmont, création d’une comédie musicale avec des enfants à Badonviller, éveil musical, chant choral et percussions à l’école primaire d’Ogéviller. Un des moments forts sera le concert rassemblant une cinquantaine de chanteurs adultes et l’ensemble Gradus Ad Musicam.

    Eglise de Domjevin


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    LE DOCTEUR MIRACLE
    Georges Bizet

    B

    izet a cherché Carmen toute sa vie … et après avoir écrit Le Docteur Miracle, il affirme : « j’en ai douté longtemps, mais main­tenant je puis affirmer que je suis musicien ». Bizet a alors 20 ans …
    Le spectacle, construit à partir de cette œuvre méconnue, sert de prétexte à explorer la quête humaine de cet homme hors du commun, sorte de mise en abyme poétique et musicale.

    •Le Docteur Miracle, opérette en un acte de Georges Bizet, sur un livret de Léon Battu et Ludovic Halévy

    Comédien, solistes et orchestre GRADUS AD MUSICAM

    Spectacle mis en espace

    Direction : François LEGÉE


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    Georges BIZET

    N

    é au cœur d'une famille de musiciens, Georges BIZET intègre le Conservatoire dès son plus jeune âge. Il compose sa première Symphonie dès l'adolescence (1855) et obtient le premier grand prix de Rome en 1857. Il se consacre alors à l'enseignement sans négliger ses talents de compositeur. Il écrit pour le théâtre et produit également des opéras, tels que les Pêcheurs de perles (1863) ou la Jolie Fille de Perth (1866). En 1872, l'Arlésienne illustre le spectacle d'Alphonse Daudet mais n'est pas bien accueillie par le public. En 1875, il compose l'opéra CARMEN, qui suscite alors très peu d'intérêt. Bizet s'éteint sans avoir jamais obtenu de reconnaissance. Ce n'est qu'après sa mort que sa dernière œuvre apparaîtra comme un chef-d'oeuvre dramatique et lyrique.


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