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coeur
Gradus Ad Musicam
Cordes
C.G. Conn
P.O. Box 310 Elkhart, Indiana 46515-0310 U.S.A.
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Wolfgang Amadeus Mozart

Wolfgang Amadeus Mozart

Olivier Messiaen

Olivier Messiaen

Johann Sebastian Bach

Johann Sebastian Bach

Luciano Berio

Luciano Berio

Dogora

Dogora

Un concert - Tableau anonyme du XVII° siècle
Musée Tessé, Le Mans
Jacopo TINTORETTO (1518-1594)
Femmes faisant de la musique
Gemäldegalerie, Dresden
Clarinettes
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Clavecin type Flamand ravalé
par Yves Crétinon
Facteur de Clavecins
38400 St Martin d'Hères - France - près de GRENOBLE 
((33) 04 76 62 87 59 Fax (33) 04 76 25 17 36
Tambourins
MEINL cymbals & percussion
Roland Meinl Musikinstrumente GmbH & Co. KG
Am Bahnhof 2
D-91468 Gutenstetten
tél: 49 - (0) 9161 - 6625 - 0
fax: 49 - (0) 9161 - 6625 - 25
Hautbois & basson
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Trompettes
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Flûtes
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Cors
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Trombones
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Tubas
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Lorenzo COSTA (1460-1535)
Concert
1485-95
National Gallery, London
Maître des demi-figures (peintre hollandais actif entre 1530 et 1540)
Concert féminin
Musée de l'Ermitage, St-Petersbourg
Caspar Netscher (1635-1684)
Leçon de basse de viole
Musée du Louvre, Paris
Programme
Saxophone

SAISON POIREL 2009-2010
28ème saison

MOZART & Co.
MOZART - Symphonie concertante en mi bémol majeur

Piazzolla V. Williams Yun

Mardi 24 novembre 2009 à 20h45 - Salle Poirel, Nancy

MUSIQUES FRANÇAISES
Tomasi Berlioz Chopin

Mercredi 27 janvier 2010 à 20h45 - Salle Poirel, Nancy
STABAT MATER
Vivaldi Pergolèse Lachner Poulenc

Dimanche 14 mars 2010 à 17h - Eglise Saint-Léon, Nancy
LA DONNA IDEALE
Mozart, Brahms, Falla, Bernstein, Weill, Berio

Samedi 05 juin 2010 à 20h45 - Salle Poirel, Nancy

CONCERTS HORS ABONNEMENT 

Autour d' Olivier MESSIAEN

A l’initiative de Renaldo GRECO, le GAM est partenaire avec EMIL 13 pour « la création pour la fin des temps » en proposant 2 ouvrages datant de 1942 et 1943 : l’opéra pour enfants Brundibar de Hans Krasa, et le Quatuor pour la fin du temps d’Olivier Messiaen..

DOGORA
Etienne PERRUCHON

Dimanche 7 mars 2010 à 17h - Arsenal, METZ

Abonnement du Nouvel An
3 concerts

  •  Musiques françaises
  •  Stabat Mater
  •  La Donna ideale
  • 3 concerts :

  • Tarif normal : 44€
  • Tarif réduit : 36€ (chômeurs, groupes + 10 personnes)
  • Tarifs par concert hors abonnement :

  • 18€ (normal)
  • 13€ (réduit) - 15€ (adhérents FNAC)
  • 6€ (étudiants -
  • 20 mn avant le concert dans la limite des places disponibles)

    Billetterie
    Salle Poirel Nancy 03 83 32 31 25
    (concerts salle Poirel)

    Magasins FNAC - Carrefour
    0 892 68 36 22 ( 0.34€/mn) - www.fnac.com
    (tous les concerts)

    Renseignements et abonnements:
    Gradus Ad Musicam
    2, rue des Fabriques
    54000 NANCY
    tél. : 03.83.21.09.19 / 03 83 36 85 98
    fax : 03 83 29 32 14

    ou cliquez ci-dessous:

    MUSIQUES FRANÇAISES
    Tomasi Berlioz Chopin

    L

    es cuivres éclatants des Fanfares liturgiques d’Henri Tomasi, en contrepoint avec Hector Berlioz et ses Nuits d’Été et le superbe 1er concerto pour piano de Frédéric Chopin, telles sont les œuvres au programme d’une soirée consacrée à des compositeurs qui ont donné les plus belles pages à la musique française.

    Frédéric CHOPIN
    Concerto n° 1 en en mi mineur

    «Bach est un astronome qui découvre les plus merveilleuses étoiles. Beethoven se mesure à l'univers. Moi, je ne cherche qu'à exprimer l'âme et le cœur de l'homme.»
    En 1830, Frédéric Chopin avait 20 ans et jouissait déjà d'une solide notoriété dans son pays. Il avait décidé depuis quelque temps de partir se faire connaître à l'étranger. Le climat en Pologne, ployant sous le joug de l'empire russe, est insurrectionnel. Avant de partir, Chopin donne, le 11 octobre 1830, un concert d'adieu où il joue son Concerto en mi mineur qu'il venait de terminer. Le 2 novembre 1830, il part pour Vienne. Le soulèvement polonais contre la domination russe éclata le 29 novembre ; il allait être écrasé en octobre 1831. Chopin ne reverra plus jamais son pays natal.

    Dans le Concerto en mi mineur, l'orchestre prend une grande place, l'éclat et l'énergie de son premier mouvement, allegro maestoso, imposent puissamment une sonorité à l'intérieur de laquelle le piano peut déployer largement ses effets. Le 2° mouvement est une douce et mélancolique romance, qui vient en contrepoint du romantisme dramatique du premier mouvement. Chopin dit qu'elle "devrait donner l'impression d'un doux regard plongé en un lieu évoquant mille souvenirs charmants, comme une rêverie par un beau temps printanier, mais au clair de lune." Et le dernier mouvement, rondo vivace, une stylisation chatoyante et volubile d'un rythme de krakowiak (une danse traditionnelle de la région de Cracovie), donne à ce concerto le caractère polonais que Chopin gardera au cœur toute sa vie.

    Hector BERLIOZ

    Les nuits d'été

    Le prince de Metternich dit un jour à Berlioz : "C'est vous, monsieur, qui composez de la musique pour cinq cents musiciens?" qui lui répondit en s'inclinant : "J'en fais quelquefois pour quatre cent cinquante".

    L'anecdote, racontée dans ses Mémoires par Berlioz lui-même, illustre bien le malentendu qu'a suscité l'emploi occasionnel d'une masse considérable d'exécutants. En effet, il y a des idées qui exigent d'être traitées en grand ; elles n'en sont pas moins subtiles pour autant. Berlioz a aussi écrit des romances et des ballades, dont les Nuits d'été, qui prouvent qu'il avait le souci de la délicatesse et du raffinement.

    Les Nuits d'Été d'Hector Berlioz forment un recueil de 6 mélodies pour voix et piano, sur des poèmes de Théophile GAUTIER. Elles furent composées entre février 1838 et juin 1841, mais Berlioz les remania à plusieurs reprises.

    Gautier et Berlioz se connaissaient bien : ils se voyaient à la fois en société et comme collègues journalistes. A l'inverse d'un Hugo qui ne voulait pas que l'on dépose de la musique aux pieds de ses vers (injonction d'ailleurs fort peu suivie), Gautier, quant à lui, exprimait clairement sa satisfaction de voir ses poèmes mis en musique.

    Henri TOMASI

    Fanfares liturgiques

    « Tout en n'ayant pas craint d'employer souvent les modes d'expression les plus modernes, je suis resté un mélodiste. »

    Henri TOMASI (1901-1971) est un compositeur prolifique abondamment joué et enregistré de son vivant et sur lequel un injuste oubli s'est abattu depuis. Marseillais de parents corses, provençal, il est profondément méditerranéen et attaché à ses origines. Par exemple, il refusa toute sa vie la légion d'honneur : « Je ne l'accepterai pas tant qu'il n'y aura pas de Conservatoire en Corse ». En 2008, la Région Corse, exauçant sa volonté, a nommé « Henri Tomasi » le Conservatoire de Musique et de Danse de l'Ile de Beauté.

    Les Fanfares liturgiques sont l'une des rares compositions de Tomasi régulièrement interprétées un peu partout dans le monde. Elles sont extraites de l’opéra Don Juan de Mañara, que Tomasi avait composé quelques années auparavant d’après le “mystère” du poète lituanien, mais de culture française, Oscar Vladislav de Lubicz-Milosz. Juste avant-guerre, Tomasi exprima sa fascination pour l’élan mystique du texte ; il était lui-même attiré par la foi. Mais les horreurs de la guerre le bouleversèrent au point qu’il déclara : «Je suis athée. Je ne crois absolument plus à rien. Je n’attends d’autre réponse que de la science».

    Composées en 1947, les Fanfares liturgiques sont une “symphonie pour cuivres” qui évoquent la Passion du Christ à travers quatre mouvements : l’Annonciation, l’Evangile, l’Apocalypse et la Procession du Vendredi Saint. Par sa brillance et son originalité de ton, l’œuvre n’est pas sans rappeler une tradition bien française héritée de la Renaissance et dont on retrouve une saveur comparable au XXème siècle dans les Fanfares de La Péri de Dukas et dans les Fanfares pour Britannicus de Jolivet. L'œuvre fut créée par l’Orchestre de l’Opéra de Monte-Carlo, le 8 mai 1947, sous la direction du compositeur.


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    MOZART & Co.
    Symphonie concertante pour flûte, hautbois, cor, basson et orchestre en mi bémol majeur, KV 297b

    B

    ois et cordes pour des musiques du répertoire (Mozart) et quelques trouvailles insolites (Vaughan Williams), mais toujours inspirées, servies par 7 jeunes et brillants instrumentistes. L’occasion aussi de retrouver le beau duo violoncelle et accordéon (Yun et Piazzolla).

    Mozart séjourna en tout un peu plus d’un an à Paris : il fit deux séjours dans son enfance et un autre séjour à l’âge adulte de mars à septembre 1778. C'est Joseph Legros, directeur de l'illustre Concert Spirituel, qui commanda à Mozart une symphonie concertante, genre très en vogue en ce temps-là. Or, il y avait à Paris un compositeur italien, Giuseppe Cambini, qui produisait des symphonies concertantes à foison et fut fort courroucé que Mozart empiétât sur sa spécialité. A force d'intrigues, de cabales et de pressions, le jaloux parvint à ses fins. Le 12 avril , alors que Mozart commençait à peine son travail, Cambini fit jouer avec force publicité une symphonie concertante pour le même effectif (flûte, hautbois, cor, basson) et avec les mêmes solistes. En revanche, le manuscrit de Mozart disparut et sa symphonie ne fut jamais jouée.

    Cet épisode lamentable est symptomatique de l'accueil sans aménité que Paris fit à Mozart, qui était venu dans l'espoir de se voir confier une charge importante au sein d'une prestigieuse institution musicale. Il apporta donc à cette Symphonie concertante un soin particulier, pensant qu'elle pourrait lui servir de carte de visite, si besoin en fût. Hélas, cette marque de faveur fut dédaignée. Et pourtant Mozart eût sans nul doute fait honneur à Paris comme la Symphonie concertante 297b fait honneur à Mozart.


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    STABAT MATER
    Vivaldi Pergolèse Lachner Poulenc


    A

    près la nuit des Requiem, Gradus Ad Musicam visite quelques uns des plus beaux Stabat Mater, connus ou inconnus. Que ce soit en soliste (contre-ténor dans Vivaldi) ou en choeur (Lachner et Poulenc), le Stabat Mater est sans nul doute un des textes sacrés les plus poignants, car il reflète à la fois la douleur et la compassion d’une mère. Donné l’an passé en version soliste, Pergolèse sera l’occasion d’entendre les jeunes voix du Chœur Junior du GAM.


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    Autour d' Olivier MESSIAEN

    Quatuor pour la fin des temps


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    LA DONNA IDEALE
    Luciano BERIO


    I

    nconnue et familière, on rêve d'Elle, - « ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre », - de pureté, de mystère ...Et comme un acte d'amour, alors le chant s'élève ... Savantes ou populaires, les musiques de Mozart, Brahms, Falla, Bernstein, Weill, Berio ... parleront de transparence des coeurs, et de fusion des corps.


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    DOGORA
    Etienne Perruchon

     

    Une musique-tempête, une musique-frisson, une enivrante symphonie d’images musicales qui a engendré en 2004 le film-événement de Patrice Leconte. Chœur & orchestre au service d'une incomparable puissance émotionnelle. Un spectacle total à déguster avec les yeux et les oreilles.

    U

    n jour, Patrice Leconte découvre une incroyable suite musicale symphonique chantée par une centaine d'enfants. Jamais il n'avait ressenti une telle émotion. Quelque temps plus tard, il se rend au Cambodge et se trouve bouleversé par ce pays. De ces émotions exceptionnelles est née une aventure. Une musique-tempête, une musique-frisson, une enivrante symphonie d’images musicales qui a engendré en 2004 le film-événement de Patrice Leconte. Chœur & orchestre au service d'une incomparable puissance émotionnelle. Un spectacle total à déguster avec les yeux et les oreilles.

    Ni fiction, ni documentaire, DOGORA OUVRONS LES YEUX est un film en musique, impressionniste et humaniste. Un jour, Patrice Leconte découvre une incroyable suite musicale symphonique chantée par une centaine d'enfants. Jamais il n'avait ressenti une telle émotion. Quelque temps plus tard, il se rend au Cambodge. Jamais il n'avait été bouleversé à ce point par un pays. De ces émotions exceptionnelles est née une aventure, une odyssée universelle aussi surprenante qu'émouvante, aussi légère que grave. Comme la vie.


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    Gradus Ad Musicam
Concert Mikis Theodorakis - Oratorio populaire 'Axion esti'