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coeur
Gradus Ad Musicam
Cordes
C.G. Conn
P.O. Box 310 Elkhart, Indiana 46515-0310 U.S.A.
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Etienne Perruchon

Etienne Perruchon

Francis Poulenc

Francis Poulenc

Georg Philipp Telemann

Georg Philipp Telemann
(1681-1767)

John Rutter

John Rutter

Luis Bacalov

Luis Bacalov

Dogora

Dogora

Un concert - Tableau anonyme du XVII° siècle
Musée Tessé, Le Mans
Jacopo TINTORETTO (1518-1594)
Femmes faisant de la musique
Gemäldegalerie, Dresden
Clarinettes
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Clavecin type Flamand ravalé
par Yves Crétinon
Facteur de Clavecins
38400 St Martin d'Hères - France - près de GRENOBLE 
((33) 04 76 62 87 59 Fax (33) 04 76 25 17 36
Tambourins
MEINL cymbals & percussion
Roland Meinl Musikinstrumente GmbH & Co. KG
Am Bahnhof 2
D-91468 Gutenstetten
tél: 49 - (0) 9161 - 6625 - 0
fax: 49 - (0) 9161 - 6625 - 25
Hautbois & basson
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Trompettes
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Flûtes
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Cors
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Trombones
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Tubas
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Lorenzo COSTA (1460-1535)
Concert
1485-95
National Gallery, London
Maître des demi-figures (peintre hollandais actif entre 1530 et 1540)
Concert féminin
Musée de l'Ermitage, St-Petersbourg
Caspar Netscher (1635-1684)
Leçon de basse de viole
Musée du Louvre, Paris
Programme
Saxophone

SAISON POIREL 2010-2011
29ème saison

Écoutez, J’arrive…
Spectacle autour de la Chanson française
Mardi 12 Octobre 2010 à 20h45 - Salle Poirel, Nancy

Concerto N° 5 pour piano «L’Empereur» - Beethoven
Gloria - John Rutter
Mardi 18 Janvier 2011 à 20h45 - Salle Poirel, Nancy
Der Tod Jesu - Georg Philipp TELEMANN
Dimanche 10 Avril 2011 à 17h - Eglise Saint-Léon, Nancy
Tchikidan - Etienne Perruchon
Concerto pour Trompette - Aroutounian
Samedi 21 Mai 2011 à 20h30 - Salle Poirel, Nancy

CONCERTS HORS ABONNEMENT 

Misa Tango - Luis Bacalov
Requiem - Gabriel Fauré

Dimanche 14 Novembre 2010 à 17h - Eglise Saint-Léon, Nancy

Stabat Mater - Francis Poulenc
Dogora - Etienne Perruchon

Vendredi 3 décembre 2010 à 20h30 - Eglise Sainte-Bernadette, Vandœuvre-lès-Nancy

Opération Domjevin

Vendredi 25 mars 2011 à 21h - Eglise de DOMJEVIN

Abonnement 2010-2011

  •  Ecoutez, J'arrive ...
  •  L'Empereur
  •  Der Tod Jesu
  •  Tchikidan / Aroutounian
  • 4 concerts :

  • Tarif normal : 58€
  • Tarif réduit : 50€ (chômeurs, groupes + 10 personnes)
  • Tarif étudiant : 35€

    Tarifs par concert hors abonnement :

  • 19€ (normal)
  • 14€ (réduit) - 16€ (adhérents FNAC)
  • 6€ (étudiants -
  • 15 mn avant le concert dans la limite des places disponibles)

    Billetterie
    Salle Poirel Nancy 03 83 32 31 25
    (concerts salle Poirel)

    Magasins FNAC - Carrefour
    0 892 68 36 22 ( 0.34€/mn) - www.fnac.com
    (tous les concerts)

    Renseignements et abonnements:
    Gradus Ad Musicam
    2, rue des Fabriques
    54000 NANCY
    tél. : 03.83.21.09.19 / 03 83 36 85 98
    fax : 03 83 29 32 14

    ou cliquez ci-dessous:

    L'EMPEREUR
    Ludwig van Beethoven : Concerto n° 5 pour piano & orchestre

    L

    e 5ème concerto pour piano de BEETHOVEN, surnommé "l'Empereur", demeure, 200 ans après sa création, un monument de la littérature pour cet instrument. L’occasion pour Jeffrey NAU, un jeune pianiste nancéien, de nous montrer tout son talent.

    Le concerto pour piano en mi bémol majeur op 73 est le dernier des cinq concertos pour piano de Ludwig van Beet­hoven. Sa com­po­si­tion com­mence vers 1808-1809 et est à peu près con­tem­poraine de celle de sa cinquième et de sa sixième sym­pho­nie. Il a été créé par l'orchestre du Ge­wand­haus de Leip­zig le 28 novembre 1811, le soliste étant Friedrich Schneider, la surdité du compositeur étant trop avancée. La première viennoise est donnée le 11 février 1812 avec Carl Czerny au piano.

    Il est dédié à l'archiduc Rodolphe d'Autriche, son élève, dédicataire également de son quatrième concerto. Il nécessite un orchestre comportant, outre les cordes, deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux bassons, deux cors, deux trompettes et des timbales.

    Le titre « concerto Empereur » n'a pas été choisi par le musicien mais probablement par l'un de ses amis. Beethoven n'avait d'ailleurs guère de sympathie pour Napoléon Bonaparte à cette époque.

    John RUTTER

    J

    ohn RUTTER fait ses études à la Highgate School de Londres. Il suit des études de solfège au Clare College (Cambridge). Il devient chef de ce chœur puis directeur musical de 1975 à 1979. En 1974, à l'occasion d'un séjour aux États-Unis, il dirige sa première cantate, Gloria, au Witherspoon Hall d'Omaha. En 1981, il fonde son propre chœur, les Cambridge Singers, spécialisé dans la musique chorale sacrée. Cet ensemble vocal a depuis réalisé de nombreux enregistrements, notamment des propres œuvres de Rutter.

    L'œuvre de John Rutter est avant tout marquée par ses compositions pour des chorales. Héritier de la tradition liturgique anglaise, il compose principalement des pièces religieuses qui peuvent être aisément interprétées par des chœurs non professionnels. Il ne se définit cependant pas comme croyant ; en 2003, il a déclaré à CBS : « Je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'être croyant, ou de chercher à promouvoir la foi religieuse pour composer de la musique religieuse de qualité. ».

    Il a également écrit des œuvres profanes, notamment des opéras pour enfants et des pièces pour orchestre.

    John Rutter dirige également de nombreux autres chœurs et orchestres à travers le monde. Il travaille également comme arrangeur et éditeur musical. Il a ainsi édité les fameux recueils Carols for Choirs en collaboration avec Sir David Willcocks.

    GLORIA

    C

    ommandée par "the Voices of Mel Olson" d'Omaha au Nebraska, cette œuvre fut créée sous la direction de John RUTTER à l'occasion de sa première visite aux Etats-Unis en mai 1974. Le texte latin, inspiré de l'ordinaire de la messe, est tour à tour exalté, religieux ou jubilatoire.

    Le Gloria, essentiellement construit comme un chant grégorien, est divisé en trois mouvements correspondant approximativement à la structure tra­dition­nelle de la symphonie.

    Destiné à un ensemble de cuivres, de percussions et un orgue, l'accompagnement instrumental met en valeur la Gloire de Dieu par sa gaieté et sa vivacité.


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    Luis BACALOV, Misa Tango

    L

    uis BACALOV, né à Buenos Aires en 1933, est un prolifique compositeur de musique de films. Parmi ses créations les plus renommées se comptent la musique pour Il Postino qui lui valut l'Oscar de la meilleure partition originale, et L’Évangile Selon Saint Mathieu de Pier Paolo Pasolini (nominée par l’Académie de Hollywood). Deux de ses œuvres figurent dans le film Kill Bill. La « Misa Tango », écrite pour solistes, chœur et grand orchestre, est une adaptation espagnole du texte de la messe, mis en musique dans plusieurs rythmes typiques du « Rio de la Plata » compris généralement dans la sphère musicale du tango (milonga, candombe, tango-canción). Le texte est soigneusement raccourci pour être adapté au credo des trois grandes religions monothéistes (juive, chrétienne et musulmane). Grande musique », jazz et traditions populaires argentines sont convoquées, le bandonéon déroulant sa bouleversante et vibrante lamentation.

    Gabriel FAURÉ, Requiem

    L

    a musique religieuse de Gabriel FAURÉ n'a pas pour dessein d'inspirer la terreur de la mort, mais de donner le goût du paradis. En effet, Fauré comprend la religion comme source d'amour et non de crainte, et c'est pourquoi son requiem est dépourvu d'effets grandioses et tonitruants. Il ne com­prend d'ailleurs pas de Dies Irae ni de Tuba mirum, séquences où se déchaîne tra­di­tion­nel­le­ment le ton­nerre de la colère divine. En revanche, il regorge de délicate ten­dresse, no­tam­ment dans le Pie Jesu pour soprano, une mélodie sublime que tout le monde connaît et qui incarne à elle seule la quiétude de la vie éternelle telle que l'imaginait le compositeur .

    Le Requiem de Fauré est en définitive une Messe des morts pleine de vie et de lumière.


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    Ecoutez, J'arrive ...
    Spectacle autour de la Chanson française

    L

    ongtemps, longtemps, longtemps, après que les poètes ont disparu, leurs chansons courent encore dans les rues… Elles nous parlent de nous : l’amour, la quête, le temps qui passe. Brel, Piaf ou Ferrat, Bashung, Gainsbourg et tous les autres…

     


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    STABAT MATER
    Francis Poulenc


    L

    e STABAT MATER est sans nul doute un des textes sacrés les plus poignants, car il reflète à la fois la douleur et la compassion d’une mère.

    Le STABAT MATER de Francis Poulenc est dédié à la mémoire du peintre et décorateur de théâtre Christian Bérard. Celui-ci meurt le 12 février 1949 dans la salle du Théâtre Marigny, lors de la présentation de son décor des Fourberies de Scapin, dont Louis Jouvet avait fait la mise en scène pour la troupe de JeanLouis Barrault et Madeleine Renaud.

    « Dès la mort de Christian Bérard, je décidai d'écrire à sa mémoire une œuvre religieuse. J'avais d'abord songé à un Requiem, mais je trouvais cela trop pompeux. C'est alors que j'eus l'idée d'une prière intercessionnelle, et que le texte bouleversant du Stabat me parut tout indiqué pour confier à Notre-Dame de Rocamadour l'âme du cher Bérard. »

    C'est à Rocamadour que Poulenc compose son Stabat Mater en deux mois. L'œuvre est créée le 13 juin 1951 lors du Festival de Strasbourg sous la baguette de Fritz Münch.

    Le STABAT MATER est un « grand motet », terme désignant les grandes compositions françaises de musique sacrée aux XVII° et XVIII° siècles. Poulenc réunit un chœur à cinq parties "à la française" (avec deux parties de voix graves, barytons et basses, comme dans les motets de Lully ou de Rameau), un grand orchestre et un soprano solo. Le STABAT MATER est une œuvre-clé dans la vie de Francis Poulenc : il s'inscrit dans la tradition de la musique française du Grand Siècle tout en se projetant vers l'avenir avec ses harmonies insolites & audacieuses, ses chromatismes parfois périlleux, ses rythmes précipités & ses modulations permanentes.

    A lire : Renaud Machart, Poulenc, éditions du Seuil, coll. "solfèges", 1995

    Pour consulter le site Internet www.poulenc.fr, veuillez cliquer ici


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    Der Tod Jesu
    Georg Philipp TELEMANN

    P

    armi les 44 Passions écrites par TELEMANN, dont 23 furent retrouvées, figurent les « oratorios de la Passion ». Ces ouvrages, plutôt destinés aux salles de concerts, sont construits autour d’un livret entièrement versifié et très différent du texte évangélique. C’est un de ces Oratorios de la Passion, Der Tod Jesu, que propose Gradus Ad Musicam : œuvre puissante et émouvante, jamais entendue en Lorraine.

    Compositeur le plus fécond de toute l'histoire de la musique, TELEMANN, né en 1681, fut également le musicien le plus célèbre de son époque, éclipsant même Bach et Haendel, ses contemporains.
    Pourtant, sa carrière commença discrètement avec un père pasteur et des études de musique effectuées en autodidacte. Il apprit rapidement à jouer de plusieurs instruments et à composer.
    En 1701, il fait la connaissance du célèbre Haendel, entre à l'Université de Leipzig pour étudier le droit et y organise un Collegium musicum, organisation de concerts publics. En 1708 il est nommé Konzertmeister, puis Hofkapellmeister à la cour d'Eisenach, où il entretient les meilleures relations avec Bach, dont il deviendra le parrain du second fils, Carl Philipp Emanuel. Après un séjour comme directeur musical de la ville de Francfort, déjà très célèbre, il s'établit en 1721 définitivement à Hambourg où il déploie une activité débordante, à la fois comme directeur musical de l'Opéra et comme compositeur. Il effectue aussi de nombreux voyages, dont un à Paris en 1737.

    Durant ses dernières années, la vue de Telemann commence à décliner, comme celle de Bach et Haendel. Mais il continue à composer et fait figure de pionnier dans des genres nouveaux tel le quatuor à cordes. Il trouve le temps de cultiver amoureusement son jardin pour lequel Haendel lui envoie des oignons de tulipe et de jacinthe très rares.

    Si, de son vivant, TELEMANN éclipsa tous ses contemporains par sa célébrité, il tomba, après sa mort en 1767 à l'âge de 86 ans, dans un oubli étonnant : " Cet homme, dont la musique était admirée dans tous les pays d'Europe ... est aujourd'hui dédaigné. On ne cherche même pas à le connaître " écrit Romain Rolland en 1919. Heureusement, cette situation a évolué ensuite, grâce notamment au microsillon qui a permis de redécouvrir son œuvre, capitale et monumentale.

    Auteur d'environ six mille œuvres, TELEMANN illustre tous les genres pratiqués à l'époque grâce à sa vivacité d'écriture et son inlassable curiosité. Représentant capital de l'ère baroque allemande à son apogée, il maîtrise également les esthétiques de composition italienne tout en manifestant des affinités avec la musique française. Légèrement " caméléon ", il concilie les exigences contradictoires de l'ancienne polyphonie et du style galant. On lui doit environ cent oratorios, des cantates profanes, quarante-quatre passions, quarante opéras, six cents ouvertures à la française et d'innombrables concertos, pièces de musique de chambre, pièces pour clavecin et lieder.


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    OPERATION DOMJEVIN

    GRADUS AD MUSICAM en partenariat avec la DRAC et les collectivités locales intervient en milieu rural pour permettre à des jeunes qui n’en auraient pas les moyens, de s’initier à la musique : Atelier percussion pour les ados à Blâmont, création d’une comédie musicale avec des enfants à Badonviller, éveil musical, chant choral et percussions à l’école primaire d’Ogéviller. Un des moments forts sera le concert rassemblant une cinquantaine de chanteurs adultes et l’ensemble Gradus Ad Musicam.

    Eglise de Domjevin


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    TCHIKIDAN
    Suite dogorienne pour chœur d'enfants, solistes enfants & orchestre symphonique avec participation du public

    V

    ous avez aimé Dogora, vous aimerez Tchikidan d’Étienne Perruchon : la même énergie, le même souffle et cette même langue, le dogorien, dont on sait qu’elle donne à la musique un sens universel. Dans la même veine émotionnelle, le concerto pour trompette d’Aroutounian servi par un jeune trompettiste, fidèle ami du GAM.

    On raconte qu'une troupe populaire aurait monté un spectacle joué, chanté et dansé par des enfants, narrant l'histoire énigmatique du peuple dogorien. Voici, récupérés dans le fameurx manuscrit Proszechniak, et arrivés par transmission orale, quelques-uns de ces chants. Leur caractère narratif et théâtral donne une idée de ce que pouvait être ce genre opératique populaire. Une affiche retrouvée récemment illustre le titre du spectacle, TCHIKIDAN, et atteste que des représentations publiques ont bien eu lieu.

    Autrefois, TCHIKIDAN était le nom d'une grande fête annuelle dogorienne où les enfants avaient tous les droits. Ils pouvaient, à cette occasion, exprimer leurs souhaits & vœux pour les saisons à venir. Si ce n'était pas une fête laïque, on pourrait la comparer aux fêtes de Noël de notre temps. Ces sept jours de fête étaient rythmés, comme toujours chez les Dogoriens, par des chants, et souvent aussi par la danse.

    Etienne Perruchon, août 2009


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    DOGORA
    Etienne Perruchon

     

    Une musique-tempête, une musique-frisson, une enivrante symphonie d’images musicales qui a engendré en 2004 le film-événement de Patrice Leconte. Chœur & orchestre au service d'une incomparable puissance émotionnelle. Un spectacle total à déguster avec les yeux et les oreilles.

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    n jour, Patrice Leconte découvre une incroyable suite musicale symphonique chantée par une centaine d'enfants. Jamais il n'avait ressenti une telle émotion. Quelque temps plus tard, il se rend au Cambodge et se trouve bouleversé par ce pays. De ces émotions exceptionnelles est née une aventure. Une musique-tempête, une musique-frisson, une enivrante symphonie d’images musicales qui a engendré en 2004 le film-événement de Patrice Leconte. Chœur & orchestre au service d'une incomparable puissance émotionnelle. Un spectacle total à déguster avec les yeux et les oreilles.

    Ni fiction, ni documentaire, DOGORA OUVRONS LES YEUX est un film en musique, impressionniste et humaniste. Un jour, Patrice Leconte découvre une incroyable suite musicale symphonique chantée par une centaine d'enfants. Jamais il n'avait ressenti une telle émotion. Quelque temps plus tard, il se rend au Cambodge. Jamais il n'avait été bouleversé à ce point par un pays. De ces émotions exceptionnelles est née une aventure, une odyssée universelle aussi surprenante qu'émouvante, aussi légère que grave. Comme la vie.


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    Concerto pour trompette
    Alexandre AROUTOUNIAN

    A

    lexandre AROUTOUNIAN, né en 1920 à Erevan en Arménie, est un compositeur et pianiste arménien.

    Très jeune, Alexan­dre AROU­TOU­NIAN étudia au con­ser­va­toire d'État d'Erevan la composition et le piano de 1934 à 1943. De 1944 à 1946, il étudia la composition et la polyphonie, tou­jours dans le même conservatoire, auprès de C. S. Koushnariov. De 1946 à 1948, il alla à Moscou où il étudia la composition ainsi que l'orchestration.

    Après l'obtention de son diplôme à Moscou, il retourna en Arménie pour enseigner au conservatoire d'État d'Erevan, puis il fut nommé en 1954 directeur artistique de l'orchestre philharmonique d'Arménie, poste qu'il occupera jusqu'en 1990.

    Alexan­dre AROU­TOU­NIAN remporte un vif succès en Arménie et à l'étranger avec ses compositions, pour la plupart inspirées de la musique folklorique traditionnelle d'Arménie.

    Une de ses œuvres les plus célèbres est sans doute le Concerto pour trompette et orchestre en la bémol majeur composé en 1950. C'est sa sixième « grande » composition, elle sera interprétée par les plus grands trompettistes du monde comme Timofei Dokchitser mais aussi Maurice André, Philip Smith, Sergei Nakariakov, Roger Voisin, ...


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    Gradus Ad Musicam
Concert Mikis Theodorakis - Oratorio populaire 'Axion esti'