La Gazette du GAM |
Gradus Ad Musicam Requiem et autres réjouissances |
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GRADUS AD MUSICAM, après un concert inédit dédié à la musique de jazz avec le PASTA PROJECT QUINTETTE, consacre la suite de sa saison à une impressionnante série d'événements tous voués à la musique sacrée. Il y aura d'abord la Nuit des Requiem, qui se déroulera en deux temps le 28 mars prochain à Nancy. Gradus Ad Musicam mobilisera tous ses effectifs pour assurer la réussite de cet événement sans précédent. Cinq requiem, de Michael Haydn à Léo Ferré, très différents les uns des autres, seront interprétés de concert & d'affilée... GRADUS AD MUSICAM interprétera ensuite, en mai prochain, la dernière et la plus belle des messes composées par Schubert, la Messe en mi bémol majeur, achevée dans un dernier souffle. Cette œuvre grandiose, tour à tour déchirante et triomphante, sera donnée à Reims et à Nancy en collaboration avec le chœur Ars Vocalis de Reims. Puis nous donnerons encore deux fois le Requiem de Mozart, en mai à l'invitation du Floréal d'Epinal, puis en juin en la cathédrale Saint-Étienne de Toul à l'invitation de l'association Le Pélican. Chœur & Orchestre Symphonique GRADUS AD MUSICAM
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réduit |
CONCERT PASTA PROJECT : LE FOU ET L'ÉNERGUMÈNE
Photos de Philippe Quenet Les spectateurs de la salle Poirel ont passé le 30 janvier dernier une soirée inhabituelle. GRADUS AD MUSICAM avait invité le PASTA PROJECT QUINTETTE de Christophe Panzani, qui avait mitonné pour l'occasion une œuvre de sa composition pour orchestre symphonique et quintette de jazz. Ce fut une grande première dans la mesure où le GAM ne s'était jamais frotté à ce répertoire et jouer avec un orchestre symphonique était également inédit pour le PASTA PROJECT. Et puis surtout, c'était une création mondiale, s'il vous plaît! Il faut souligner que les mélanges de cet acabit ne sont pas légion dans les salles de concert, et le manque de recul et d'expérience auraient pu gâcher la soirée. Heureusement, les vivats, les bravos et les rappels du public ont donné à la tenue de cet événement une justification des plus éclatantes. Quand les cinq stars de la soirée firent prestement leur entrée en scène avec batterie, saxophone et guitare électrique, on eut vraiment un sentiment d'étrangeté : le jazz était là, devant nous, sur la scène de Poirel, en chair et en os, et il allait se faire dorloter, papouiller, cajoler par le grand orchestre du GAM! C'est en effet ce qui advint. Le quintette entama le premier morceau à pas de velours, l'orchestre lui emboîta le pas sur la pointe des pieds, et l'ensemble enfla de concert jusqu'au paroxysme, comme pour affirmer bien fort la belle harmonie du couple. Les neuf morceaux du concert passèrent en un souffle. A l'issue du concert, Christophe Panzani traita François Legée de "fou” pour avoir osé lui commander cette partition. En retour, le chef du GAM le qualifia d'“énergumène" pour avoir inconsidérément accepté sa proposition. Ce duo d'iconoclastes était décidément fait pour s'entendre - et se comprendre! Naturellement, le GAM et le PASTA PROJECT sont prêts à recommencer tout
de suite s'ils y sont d'aventure invités. En effet, comme dit le proverbe,
la fête
passe, le fou demeure! L'énergumène aussi. Pour lire l'article de l'Est Républicain, veuillez cliquez
ici
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RETOUR SUR LE MAL-AIMÉ Le concert " La Chanson du Mal-Aimé " de Léo Ferré a fait l'objet d'un éloge appuyé de l'envoyé spécial de la revue CHORUS : Je ne peux m’empêcher de l’écrire : je viens de voir à NANCY, un spectacle éblouissant : Laurent MALOT entouré de 135 musiciens et choristes, aidé d’un pianiste, d’une soprano et d’un baryton, disant et chantant « la Chanson du Mal Aimé » (mis en musique par Léo FERRE). Long poème de Guillaume APOLLINAIRE qui évoque les affres et les brûlures des déchirures amoureuses (infidélité, folie, désespoir: thèmes chers à FERRE). Laurent MALOT, magistral dans le rôle du poète maudit transcende le texte, le pétrit de la voix et du geste. C’est superbe, fort, puissant et sensible à la fois. « C’est celui qu’il fallait pour ce rôle » diront à la sortie les aficionados de FERRE. Il serait dommage qu’il n’y ait qu’une représentation de ce chef d’œuvre. Il faudrait revoir ce pur bijou dans des grandes salles ou festivals curieux et audacieux. La musique de FERRE sublime le texte et Laurent MALOT est étonnant de vérité. Bernard KERYHUEL (Le Givre) La recommandation de ce journaliste est belle et bonne. De fait, le GAM cherche des débouchés pour ce spectacle qui a suscité un fort engouement, et nous lançons un appel aux organisateurs de concerts et directeurs de festivals pour qu'ils prennent contact avec le GAM. NB : Le concert " La Chanson du Mal-Aimé " a fait l'objet d'une vidéo tournée par Guy Grunberg & Jean-Pierre Stella, avec une prise de son de Dominique Heymès. Ce document de qualité peut être présenté aux acheteurs potentiels.
Pour accéder au site de la revue CHORUS, veuillez cliquez ici
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Nuit des Requiem Nuit torride & envoûtante, palpitante de ferveur, de fureur & de plénitude. Le GAM crée l’événement en présentant cinq requiem d’affilée - avec une grande pause au milieu. Ce méga-concert sera composé de deux monuments, les requiem de Fauré & de Mozart, celui de Michael Haydn, dans lequel Mozart a largement puisé, et deux requiem d’aujourd’hui, celui de Léo Ferré (mais oui!) et celui de Herbert Howells. Cette Nuit des Requiem sera, à n’en pas douter, l’un des grands événements de la saison musicale. A ne pas manquer! Julie MOSSAY, soprano
Samedi 28 mars 2009 18h30 21h30 Tarifs : 1° partie 16€ , 1° & 2° parties 22€ Réservations : |
Franz SCHUBERT Messe en mi bémol majeur Schubert incarne le romantisme comme Mozart le classicisme. La Messe en mi bémol majeur, la dernière et la plus belle de Schubert, est une ardente fontaine d’émotions. Tour à tour souriante et plaintive, suppliante et triomphante, cette musique, parcourue d’une tension extraordinaire, est l’apogée de la musique romantique. Schubert la composa à 31 ans dans son dernier soupir, comme Mozart son Requiem... Samedi 16 mai 2009 à 20h30 Samedi 6 juin 2009 à 20h30 Hadhoum TUNC, soprano
Chœur Ars Vocalis | |
GRADUS AD MUSICAM AU FLORÉAL D'ÉPINAL |
Wolfgang Amadeus MOZART -
REQUIEM Mozart composa son Requiem dans un dernier soupir. Un soupir de regret de quitter les vivants, mais aussi de soulagement d’avoir pu donner à la postérité son ultime chef-d’œuvre, qui suscite dans toutes les générations un engouement hors pair. Le Requiem de Mozart est en effet la merveille des merveilles, une musique qui plonge l’auditeur dans un flot d’émotions et un océan de plénitude. Cette œuvre extraordinaire est emblématique du répertoire du GAM, puisque c’est avec elle que prit naissance, en 1982, la grande aventure de GRADUS AD MUSICAM. Mardi 19 mai 2009 - Basilique Saint-Maurice, Epinal Julie MOSSAY, soprano
Chœur & Orchestre Symphonique GRADUS AD
MUSICAM
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