La Gazette du GAM
N° 124 - novembre 2022
Wolfgang Amadeus MOZART
 

L

orsqu'en 1982 François Legée créa l'as­so­cia­tion musicale GRADUS AD MUSICAM, ce fut pour interpréter le Requiem de Mozart. Cette œuvre em­blé­ma­ti­que du grand réper­toire choro-sym­pho­ni­que a marqué l'histoire de notre asso­cia­tion. Elle manifeste en effet sa vo­lon­té de s'adresser à un public très large intéressé d'abord par la musique du cœur. C'est pourquoi Mozart a sou­vent été à l'honneur dans les pro­gram­mes du GAM et le sera encore cette année pour célébrer le 40ème anni­ver­saire de la créa­tion de GRADUS AD MUSICAM.

Mozart composa son Requiem dans un dernier sou­pir. Un soupir de regret de quitter les vivants, mais aussi de sou­la­ge­ment d'avoir pu donner à la pos­té­rité son ultime chef-d'œuvre, qui sus­cite dans toutes les générations un en­gouement sans égal. Cette œuvre, d'une puissance dra­ma­tique ex­tra­or­dinaire, est l'in­car­na­tion suprême de la mu­sique dou­lou­reu­se et poi­gnan­te, mais aussi bien­fai­sante et exal­tante, où l'on passe de l’ombre à la lu­miè­re, de la peur du néant à l’espoir de l’éternité bien­heureuse.

 
cross

 
 Burning Cross

Antonio VIVALDI
 Concerto pour deux violoncelles en sol mineur

Wolfgang Amadeus MOZART
Deux airs pour soprano
Requiem en ré mineur

Chœur & Orchestre GRADUS AD MUSICAM

Direction François LEGÉE


Dimanche 20 novembre 2022 à 17h
Salle Poirel Nancy

 
Michel-Ange - Le jugement dernier -Chapelle Sixtine
Michel-Ange - Le jugement dernier -Chapelle Sixtine

Tarifs (hors frais de location) :

  • 22 € (1° catégorie: orchestre et 1er rang de balcon)
  • 19 € (2° catégorie : balcon)
  • 17 € (réduit* : toutes catégories)
  • 6 € (lycéens/étudiants jusqu'à 26 ans)
  • gratuit en dessous de 16 ans

  • * Chômeurs et groupes + de 10 personnes

Billetterie à l'entrée du concert



Renseignements :

Gradus Ad Musicam

Mél. : gam@gradus-ad-musicam.com
Tél. : 03 83 21 09 19



Réservations :

Salle Poirel

Mél. : poirel@nancy.fr
Tél. : 03 83 32 31 25

 
Le jugement dernier - Hans Memling (1468)
 

La mort de Mozart

 

E

n septembre 1791, Mozart rentra à Vienne très fatigué après une série de représentations de La Clé­men­ce de Titus données à Prague à l'oc­ca­sion du cou­ron­ne­ment de l'em­pe­reur Leo­pold II comme roi de Bohême. Dès lors, ses jour­nées furent rythmées par un travail ha­ras­sant en dépit d'une aggra­va­tion dis­con­ti­nue, mais inexorable, de la ma­la­die qui devait l'emporter.

Le dimanche 20 novembre 1791, on célèbre la centième re­pré­sen­tation de son opéra La Flûte en­chan­tée. Mozart, ma­la­de, doit s'aliter et interrompre à nouveau tout travail suivi sur le Requiem. Plusieurs musiciens se réu­nis­sent à son chevet et Mozart leur de­man­de de lui faire entendre les sé­quen­ces ter­mi­nées du Requiem ; lui-même essaie de chanter la partie d'alto. 

 

Le samedi 3 décembre, Mozart déclara à Sophie Haibel, la sœur de Constanze, donc sa belle-sœur, qu'il se sentait telle­ment mieux qu'il envisageait d'aller rendre visite à sa belle-mère pour sa fête quelques jours plus tard. Mais dès le len­de­main, son état s'aggra­va ter­ri­ble­ment. Sophie raconte : “...Je retournai en cou­rant chez ma sœur éplo­rée. Süssmayr était au chevet de Mozart. Le célèbre Requiem était posé sur le couvre-lit et Mozart lui expliquait comment, à son avis, il fallait l'achever après sa mort. ... On cher­cha pen­dant longtemps Closset, le docteur, qu'on trouva au théâtre, mais il lui fallut attendre la fin de la pièce. Il vint alors et ordonna qu'on lui plaçât des cata­plasmes froids sur sa tête brûlante, ce qui l'affecta au point qu'il perdit con­nnais­san­ce et rendit l'âme peu après. Son dernier geste fut de vouloir imiter avec sa bouche les timbales de son Requiem - je l'entends encore.” C'est ainsi que Mozart mourut, le lundi 5 décembre 1791 vers une heure moins cinq du matin, à l'âge de 35 ans, pro­ba­ble­ment d'une ma­la­die ré­na­le.


Un enterre­ment de troi­sième classe

Mozart reçoit un enterre­ment de troi­sième classe, usuel pour la bour­geoi­sie moyenne à cette épo­que : le ser­vice fu­nè­bre se déroule, sans messe ni mu­si­que, dans une chapelle latérale de la cathédrale Saint-Étienne de Vienne.

Le 6 décembre 1791, le corbillard con­dui­sit le corps à la tom­bée de la nuit - comme c'était la règle - au cime­tière Saint-Marx, alors situé dans la banlieue de Vienne, dans une fosse commune ordinaire pouvant contenir seize corps avec des couches de terre par rangées. Les restes n'ont pu être identifiés et ce n'est qu'en 1859 qu'un céno­ta­phe (ci-dessous) fut édifié au cimetière en guise de sépulture.

Joseph Haydn séjournait à Londres depuis le début de l'année 1791. Il apprit la mort de Mozart au cours du mois de dé­cem­bre et fut bou­le­ver­sé par la perte cruelle de son ami, qui, un an au­pa­ra­vant, avait ten­té en vain de le dissua­der de quitter Vienne. Le vieux com­po­si­teur, qui al­lait de triom­phe en triom­phe dans la ca­pi­ta­le an­glai­se, ne put retenir ses lar­mes lors­qu’il apprit la mort de son jeune ami : "Je suis resté longtemps prostré et n'arrivais pas à croire que la providence eût si brutalement ôté la vie à un homme aussi irremplaçable ..." écrivit-il dans une lettre en janvier 1792.   

Et en effet, la mort prématurée de Mozart est assurément la plus grande tragédie de l'histoire de la musique. En 1784,  Haydn avait déclaré à Leo­pold Mozart, le père de Wolfgang : « Je dois vous le dire devant Dieu, et comme un honnête homme, votre fils est le plus grand com­po­si­teur que je connaisse, en personne et de nom ».

 


Le Requiem de Mozart

Le jugement dernier - Hans Memling (1468)

A

u cours de l'été 1791, Mozart re­çoit la commande anonyme d'une  Messe des Morts. On ap­prit plus tard que cette com­mande pro­ve­nait d'un certain comte Walsegg, qui souhaitait faire exé­cu­ter cette œuvre en mé­moire de son épou­se bien-aimée, dé­cé­dée à l'âge de vingt ans. Bien que sur­char­gé de travail, MOZART com­men­ce immédiatement à travailler à cette com­mande, s'interrompt plusieurs fois et s'y consacre plus sé­rieu­se­ment à l'au­tom­ne. Sur le manuscrit au­to­gra­phe figure la date de 1792. Rien d'étonnant en vérité : en rai­son du travail de compo­si­tion phé­no­mé­nale de l'année 1791 (La Clémence de Titus, La Flûte Enchantée, le Concerto pour clarinette, le dernier concerto pour cor, etc.), Mozart sait qu'il n'aura ja­mais ache­vé le Requiem avant la da­te exi­gée par son com­man­di­tai­re, février 1792.

Œuvre inachevée, vie inachevée

Au fur et à mesure que la composition avançait, la san­té de Mozart se dégra­dait. Et à sa mort, le 5 dé­cem­bre 1791, il avait uni­que­ment écrit l'in­té­grale de l'Introït (Requiem Æter­nam) pour tous les ins­tru­ments et le chœur. Pour la pièce sui­van­te, le Kyrie, ain­si que la ma­jeu­re par­tie des vingt stro­phes de la sé­quen­ce Dies irae (de la première, Dies Iræ, à la seizième strophe) et du Confutatis, seules les voix du chœur et la basse continue étaient terminées. Au-delà, seuls quel­ques passages im­por­tants de l'or­ches­tre étaient es­quissés. Le Lacri­mosa se ter­mi­nait à la huitième me­su­re, il resta ina­che­vé.
Dans les an­nées 1960, on dé­cou­vrit une ébau­che de fu­gue sur l'Amen, qui de­vait vi­si­ble­ment con­clu­re ce Dies Irae. Les sec­tions sui­van­tes, Do­mi­ne Jesu Chris­te et Hostias, ne com­pre­naient que le chœur et une par­tie de la basse con­ti­nue. Il man­quait l'in­té­gra­li­té du Sanc­tus, du Bene­di­ctus, de l’Agnus Dei, et de la Commu­nio

Une œuvre théâtrale

Pour écrire son œuvre, Mozart s’est appu­yé sur le dé­cou­page du texte utilisé par son ami Michael Haydn pour son Requiem en ut mineur (cf. ci-dessous). Il choisit la to­nalité de ré mineur qui évoque souvent la mort sous sa plume et dont Schubert se sou­vien­dra pour son quatuor La Jeune Fille et la Mort. Il s’est aussi inspiré du Messie de Haendel qu’il avait réorchestré à la demande de son mécène le baron van Swieten : le Kyrie est calqué sur la fugue  And with His stripes we are healed. 

Le Requiem de Mozart est résolument théâtral. La musique suit l’alternance de moments de terreur, de joie, de supplication, d’élévation et de piété des Écritures. Comme toujours chez lui, les moments de si­len­ce et de stu­peur sont d’une rare in­ten­si­té. Dans son écriture et dans sa dimen­sion spirituelle, Mozart est au sommet de son art.

L'épilogue

Sa femme Constanze a fait achever le Requiem par des élèves de Mozart, no­tam­ment Franz Xaver Süssmayr, et ce pour deux raisons : honorer la commande (et toucher le reste de l’argent promis), mais aussi par fidélité au compositeur qui avait laissé des instructions. Le 2 janvier 1793, une ver­sion à peu près com­plè­te fut donnée par le baron van Swieten dans la salle de con­cert du res­tau­rant Jahn (appelée "salle Jahn") à Vienne, où Mozart avait donné, en mars 1791, son dernier concert en tant que pianiste ; et le 14 décembre le comte Walsegg dirigea la ver­sion com­plète à l’abbaye de Neu­kloster à Wiener Neustadt (à 50 km au sud de Vienne). C’est le 20 avril 1796 que le Requiem de Mozart fut donné au Gewand­haus de Leipzig avec Cons­tanze Mozart en soliste. Il aura fallu moins de cinq ans pour que l’œuvre sorte de Vienne et entame son tour de monde, qui ne s’est jamais arrêté.



cross2

 

La mort, matrice du requiem


La Mort chevauchant un bœuf - Heures à l'usage de Rome, 1533

L

a peur et la répulsion qu'inspire la mort sont des sentiments uni­ver­sel­lement répandus. Les arts ont abon­dam­ment dépeint ces sen­ti­ments, pour illus­trer et bien sûr aussi conjurer cette an­gois­se fon­da­men­tale, qui borne et struc­tu­re la vie & l'activité humaine.



La musique est particulièrement apte à don­ner à la mort un habillage ex­pressif pro­pre à sus­citer la terreur et la pitié. C'est ainsi que le requiem est au cœur de l'émotion musicale & humaine : il magnifie le chagrin & embellit le deuil bien au-delà de toute religiosité. Il implique en effet tout un décorum destiné à mettre en valeur le défunt et l'affection de ses proches venus lui rendre un dernier adieu, et quêter pour eux-mêmes la sérénité et le cou­rage d'af­fron­ter l'im­men­sité de la mort. Et bien sûr, croyant ou non-croyant, nul n'échappe à la magie du requiem : les trom­pettes toni­truan­tes du ju­ge­ment dernier, la colère di­lu­vienne des chœurs déchaînés, la poi­gnan­te dé­plo­ra­tion du Lacrimosa, les fu­gues ef­fré­nées des voix qui s'en­tre-suivent, s'en­tre-croisent, s'en­tremêlent, s'en­tr'accro­chent & s'en­tre-cho­quent, et la lan­ci­nan­te et déchi­ran­te supplication requiem aeternam dona eis : donne-leur le repos éternel.

Et en effet, le mystère de la mort & de l'éternité est une préoccupation centrale de la vie humaine, qui, par-delà la re­li­gion, asso­cie le cœur de tous les hom­mes à tra­vers la musique.


Haydn & Mozart,
frères en requiem

Last Judgement by Michelangelo

D

ès les premières mesures du Requiem de Michael Haydn, on est frappé par la similitude. Ce n'est pas une coïn­ci­dence : Mozart, pour com­poser son Requiem en 1791, s'est ins­piré de celui de son ami, qu'il avait en­ten­du et aimé à Salzbourg vingt ans plus tôt. En effet, Michael Haydn (le frère de Joseph Haydn) était maître de concert et compositeur dans l'orchestre du prince-arche­vê­que, où Mozart fut lui-même violoniste.

Le jeu­ne Mozart, âgé de quinze ans en 1771, fut cer­tai­ne­ment im­pres­sion­né par ce ma­gni­fi­que Requiem de Michael Haydn, qui fut donné aux fu­né­railles du prin­ce-ar­che­vêque de Salz­bourg Sigis­mund von Schratten­bach et lui ser­vit ensuite de mo­dè­le pour co­mposer le sien, de juillet à décembre 1791, juste avant de mourir.

De nom­breu­ses ana­lo­gies sont fla­gran­tes : la struc­ture de la com­po­sition est iden­ti­que, l'introït en tui­lage suit le mê­me ordre basse ténor alto soprano, les sé­quen­ces et lux perpetua et quam olim Abrahae, sont étran­ge­ment sem­blables ; Süssmayer, qui ter­mi­na le Requiem de Mozart, se sou­vien­dra lui aussi, sans doute sur les ins­truc­tions de son maî­tre, de l'œuvre du Haydn de Salzbourg.

Michael Haydn mou­rut bien après Mozart, en 1806. Son Requiem fut inter­prété au dé­cès de son frère Joseph, en 1809.

 

GRADUS AD MUSICAM
1982-2022

GRADUS AD MUSICAM
 

Q

uand en 1982 François Legée fonde le Chœur et Orchestre GRADUS AD MUSICAM, il poursuit, avec les quelques amis musiciens qui l’accompagnent à cette époque, un double objectif : aborder le répertoire choro-symphonique avec rigueur et passion, en pariant sur l’énergie déployée pour obtenir l’en­ga­ge­ment des mu­siciens, première étape pour des prestations de qualité. Éclectique dans ses choix, François Legée privilégie les contacts avec des artistes, chan­teurs, musiciens, co­mé­diens, metteurs en scène, danseurs, avec la volonté affirmée depuis 40 ans de créer des passerelles entre les genres et les gens : professionnels, amateurs, jeunes et moins jeunes …

Parallèlement à son travail de pédagogue, il s’est orienté dès l’âge de 20 ans vers la direction de chœur et d’orchestre (assistant de Jacques GRIMBERT, directeur de la musique à l’Université de Paris-Sorbonne, et élève de Jean-Sébastien BEREAU, professeur de direction d’orchestre au Con­ser­va­toire National Supérieur de Musique de Paris). Après avoir enseigné dans l’Éducation Nationale et avoir oc­cu­pé de nombreuses fonctions dans la formation continue des enseignants, et à la Délégation Académique à l’Action Cul­tu­relle, il a été jusqu’en 2017 directeur du CEFEDEM de Lorraine (Centre de Formation Supérieure des Enseignants de la Danse et de la Musique).

 

Gradus ad Musicam à la salle Poirel, Nancy

GRADUS AD MUSICAM est une association de type loi de 1901 composée de diverses formations chorales et or­ches­tra­les. Son objectif est de permettre au plus grand nombre d'accéder à des productions musicales de haut niveau, par des structures spécifiques de travail et de formation. Le répertoire de GRADUS AD MUSICAM englobe la musique chorale, con­cer­tante, sym­pho­ni­que et choro-symphonique du XVIIème au XXIème siècle.



GRADUS AD MUSICAM s'applique d'abord à faire vivre l'héritage des grands musiciens du passé: Monteverdi, Vivaldi, Bach, Haendel, Mozart, Haydn, Beethoven, Schubert, Schumann, Brahms, Mendelssohn, Dvořák, Berlioz, Fauré, etc. Notre asso­cia­tion s'attache également à interpréter la mu­si­que d'au­jour­d'hui : c'est ainsi qu'elle a chanté en mai 2022 Messe un jour ordinaire de Bernard Cavanna avec l'en­sem­ble réputé Les Métaboles et chantera en mars 2023 Métamorphoses de Philippe Hersant. Elle passe aussi com­man­de d'œuvres à des com­po­si­teurs actuels.



Les compositeurs les plus classiques et les plus célèbres, comme ceux sus-cités, côtoient des musiciens plus po­pu­lai­res comme Theodorakis, Ferré ou Perruchon, ou même de la musique pop - rock, comme dans le concert Symphopop donné en 2018 et repris en 2022, ou le concert Laguerre/Sok qui sera donné en mars 2023.

Des œuvres incontournables aux redécouvertes les plus poin­tues, François Legée, directeur musical de GRADUS AD MUSICAM, se plaît, à chaque concert, à surprendre par la vitalité et le dynamisme de l'interprétation qu'il propose, aux côtés de solistes reconnus et aguerris.

Gradus ad Musicam à la salle Poirel, Nancy

SAISON 2022-2023

W. A. MOZART

Requiem

Dimanche 20 novembre 2022 à 17h - Salle Poirel, Nancy

L. van BEETHOVEN

Concerto n°4 pour piano

Robert SCHUMANN

Concerto pour violoncelle

Max BRUCH

Romance pour violon alto

Dimanche 5 février 2023 à 17h - Salle Poirel, Nancy

Maurice DURUFLÉ

Requiem

Philippe HERSANT

Métamorphoses

Samedi 25 mars 2023 à 20h -
Eglise Saint-Pie-X, Essey-lès-Nancy

Hector BERLIOZ

Cantate Herminie

Antonín DVOŘÁK

Sérénade pour cordes

Samedi 3 juin 2023 à 20h - Salle Poirel, Nancy

 


Hors Abonnement

 

Symphopop

La chanson fait sa symphonie

Samedi 8 octobre 2022 à 20h30 - Arènes de Metz

Joseph HAYDN

La Création
(version piano et vents)

Dimanche 15 janvier 2023 à 16h - Centre culturel,   Remiremont

Rock symphonique

Anthony Laguerre / GW Sok


Orchestre Gradus Ad Musicam

Dimanche 12 mars 2023 à 17h - Salle Poirel, Nancy

Giacomo PUCCINI

Messa di Gloria

Juin ou automne 2023
Date et lieu à déterminer
 

Abonnement 2022-2023


  • MOZART
  • BEETHOVEN / SCHUMANN / BRUCH
  • DURUFLÉ / HERSANT
  • BERLIOZ / DVOŘÁK

 

Abonnement 4 concerts

  • Tarif normal : 72 €
  • Tarif réduit* : 67 €
*Chômeurs et groupes + de 10 personnes

Abonnement 3 concerts

  • Tarif normal : 55 €
  • Tarif réduit* : 52 €
*Chômeurs et groupes + de 10 personnes

Renseignements et abonnements :
Gradus Ad Musicam
55, rue du Pont de Pierre
54270 Essey-lès-Nancy


Mél. : administration@gradus-ad-musicam.com
Tél. : 03 83 21 09 19

ou cliquez ici : Afficher le bulletin d'abonnement